Imaginez mourir écrasé sous des milliards de post-its tueurs. Littéralement.
FBC: Firebreak sortie prévue le 17 juin 2025 sur Xbox Series X|S, PC et via le Game Pass.
Bienvenue dans FBC: Firebreak, le prochain jeu FPS coopératif de Remedy, qui s’annonce comme un ovni aussi fun qu’intense, mêlant action frénétique, humour absurde et personnalisation poussée.
Un spin-off de Control… mais version multijoueur et plus barré
FBC: Firebreak prend place dans l’univers de Control, mais n’exige pas d’avoir joué au jeu de 2019 pour s’y plonger. En tant que bénévoles envoyés en mission de nettoyage dans la mystérieuse Maison la Plus Ancienne un bâtiment vivant et changeant, vous et deux autres joueurs devrez neutraliser des phénomènes paranormaux… tout en survivant à une surchauffe, des monstres gluants ou des fournitures de bureau possédées. Normal, quoi.
Du fun immédiat, du challenge à la carte
Ce qui frappe d’entrée de jeu, c’est la flexibilité de l’expérience. Que vous ayez cinq minutes ou toute une soirée devant vous, Firebreak s’adapte. Chaque mission commence par le choix d’un « Niveau d’intervention », qui détermine la durée et la difficulté de la session. Les débutants peuvent ainsi prendre leurs marques tranquillement, tandis que les vétérans du FPS coop y trouveront un défi corsé, surtout en difficulté maximale.
Et ça, on l’a appris à nos dépens en affrontant des vagues de Hiss… et des post-its animés.
Des missions qui sortent de l’ordinaire
Trois missions étaient jouables lors de l’événement presse. Dans Hot Fix, il fallait réparer des ventilateurs dans une chaleur suffocante, avant d’affronter une fournaise paranormale. Ground Control, plus grotesque, nous a envoyés collecter des perles de sangsue sur des cadavres de créatures géantes. Mais notre préférée reste Paper Chase, où l’on affronte des post-its agressifs avant de se frotter à Sticky Ricky, un boss aussi ridicule que redoutable.
Ces missions sont rythmées, drôles, parfois absurdes, mais toujours bien pensées. La présence imprévisible du Hiss ajoute une tension constante, avec des miniboss qui forcent à adapter sa stratégie.
Un arsenal déglingué mais efficace
Ici, pas de marines surentraînés ni d’équipement militaire high-tech. Vous êtes des bénévoles, et ça se sent dans les « Kits de Crise » disponibles : des outils bricolés, drôles mais terriblement utiles. Pistolet à eau géant, lance-glue, fusil à ondes… Chaque kit peut être amélioré et personnalisé, ce qui permet à chaque joueur de définir son propre style de jeu.
Mention spéciale au Kit Splash, véritable MVP de notre session pour refroidir les monstres et… nos coéquipiers en surchauffe.
Des mécaniques environnementales bien pensées
La Maison la Plus Ancienne n’est pas qu’un décor. Elle influence le gameplay en permanence. Trop chaud ? Vous surchauffez. Trop froid ? Vos mouvements ralentissent. Ces effets s’appliquent aussi aux ennemis, ce qui donne lieu à des scènes aussi tactiques que comiques, comme voir un monstre foncer au ralenti sous l’effet du gel.
Et en difficulté hardcore, ces effets deviennent cruciaux, forçant à réfléchir à chaque déplacement, chaque choix d’équipement.
L’esprit Remedy, toujours présent
Fidèle à la tradition du studio, Firebreak ne serait pas complet sans sa narration étrange et ses dialogues savoureux. Entre deux combats, les personnages échangent vannes et absurdités dans un ton pince-sans-rire. C’est un plaisir pour les fans, mais les nouveaux venus y trouveront aussi leur compte sans jamais se sentir perdus.
Un gros oui pour les fans de coop et de chaos
FBC: Firebreak s’annonce comme un excellent cru : fun, accessible, mais aussi capable de gratifier les joueurs les plus exigeants avec des mécaniques profondes et une vraie marge de progression. Le tout emballé dans un univers original et bourré d’humour noir.
Préparez vos pistolets à eau… et vos nerfs.
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